Lors de l'élaboration de la loi du 23 octobre 1991, le ministre a ainsi précisé : « Une application correcte du principe ' non bis in idem ' impose, pour accepter ou refuser la défiscalisation de la plus-value, d'examiner si
la société dont les titres étaient détenus est soumise ou non à un régime normal d'impôt des sociétés. Si oui, il est logique que l'actionnaire société de cette société ne soit p
as retaxé. [...] En résumé, l'idée de base est bien la suivante : quelle que soit la manière dont les bénéfices de la filiale sont transf
...[+++]érés à la société mère, si ces bénéfices ont été taxés, il n'y a plus lieu de retaxer. Le principe du ' non bis in idem ', qui n'était jusqu'à présent applicable qu'à la distribution de bénéfices de la filiale à la société mère, est ainsi étendu à toutes les opérations aboutissant à un effet similaire par la réalisation des titres ou par la liquidation de la filiale » (Doc. parl., Chambre, 1991-1992, n° 1784/3, pp. 4 et 5).Bei der Ausarbeitung des Gesetzes vom 23. Oktober 1991 hat der Minister daher präzisiert: « Um die steuerliche Befreiung des Mehrwertes anzunehmen oder zu verweigern, erfordert eine korrekte Anwendung des Grundsatzes ' non bis in idem ', dass geprüft wird, ob die Gesellschaft, deren Effekten gehalten wurden, einer normalen Regelung der Gesellschaftssteuer unterliegt oder nicht. Wenn ja, ist es logisch, dass die Gesellschaft, die Aktionär dieser Gesellschaft ist, nicht
erneut besteuert wird. [...] Zusammenfassend besteht die Grundidee darin, dass ungeachtet der Weise, auf die die Gewinne der Tochtergesellschaft an die Muttergesellschaft
...[+++]übertragen werden, in dem Fall, dass diese Gewinne besteuert wurden, keine erneute Steuer zu erheben ist. Der Grundsatz ' non bis in idem ', der bisher nur auf die Ausschüttung von Gewinnen des Tochterunternehmens an die Muttergesellschaft Anwendung fand, wird somit auf alle Transaktionen ausgedehnt, die zu einer ähnlichen Wirkung führen durch die Realisierung von Effekten oder durch die Abwicklung des Tochterunternehmens » (Parl. Dok., Kammer, 1991-1992, Nr. 1784/3, S. 4 und 5).