L’avocat général reconnaît que la notion de «biens» pourrait s’étendre aux biens incorporels ayant une valeur économique . Toutefois, en l’espèce, à supposer qu’il y ait ingérence dans le droit de propriété, le principe de proportionnalité a été respecté, dans la mesure où les viticulteurs ont bénéficié d’une période transitoire de 13 ans pour s’adapter à la nouvelle situation créée par l’accord sur les dénominations de vins et où les producteurs peuvent également choisir des noms de vigne alternatifs.
Nach Ansicht des Generalanwalts kann sich zwar der Begriff „Eigentum“ auf unkörperliche Gegenstände mit wirtschaftlichem Wert erstrecken. Im vorliegenden Fall wurde jedoch, selbst wenn ein Eingriff in das Eigentumsrecht vorliegen sollte, der Verhältnismäßigkeitsgrundsatz beachtet, da den Winzern eine dreizehnjährige Übergangszeit gewährt wurde, um sich auf die neue Lage nach dem Abkommen über Weinnamen einzustellen, und den Erzeugern auch alternative Weinnamen zur Verfügung stehen.