En particulier, la Hongrie et la Tchécoslovaquie ont progressé rapidement vers l'accès aux marchés internationaux des capitaux, alors que la mobilisation de capitaux privés extérieurs est restée, comme prévu, modeste dans le cas de la Bulgarie (écrasée par le fardeau d'une dette extérieure excessive) et de la Roumanie, les deux pays recourant massivement aux crédits de sources officielles pour financer leur déficit extérieur à court terme.
Namentlich Ungarn und die Tschechoslowakei gewannen schnell Zugang zu den internationalen Kapitalmaerkten, waehrend sich die Mobilisierung auslaendischer privater Finanzierungsquellen im Falle Bulgariens (das durch eine uebermaessige Auslandsverschuldung belastet ist) und Rumaeniens in bescheidenen Grenzen hielt, so dass beide Laender in hohem Masse auf Kredite aus offiziellen Quellen zur kurzfristigen Finanzierung ihrer Zahlungsbilanzdefizite angewiesen waren.