Dans son avis sur la loi précitée du 13 décembre 2005, le Conseil supérieur de la Justice a d'ailleurs rappelé que, bien que « la dimension sociale du règlement collectif de dettes soit incontestablement présente », « le règlement collectif de dettes est généralement classé comme une procédure d'insolvabilité tendant à régler la relation entre créanciers et débiteurs » (Doc. parl., Chambre, 2003-2004, DOC 51-1309/002, p. 5).
In seiner Stellungnahme zum vorerwähnten Gesetz vom 13. Dezember 2005 hat der Hohe Justizrat im Ubrigen daran erinnert, dass, obwohl « die soziale Dimension der kollektiven Schuldenregelung eindeutig vorhanden ist », « die kollektive Schuldenregelung im Allgemeinen als ein Insolvenzverfahren zur Regelung des Verhältnisses zwischen Gläubigern und Schuldnern eingestuft wird » (Parl. Dok., Kammer, 2003-2004, DOC 51-1309/002, S. 5).