Il est essentiel que les actionnaires et les créanciers de rang inférieur, et non les contribuables, supportent les coûts et les pertes liés aux défaillances des banques. Je salue également la décision de l’Italie de recourir aux instruments de résolution des banques pour la première fois sur son territoire, décision qui permet de gérer ces banques défaillantes tout en préservant la stabilité financière».
Entscheidend ist, dass Anteilseigner und nachrangige Gläubiger die Kosten und Verluste der Bankenausfälle tragen und nicht die Steuerzahler. Auch begrüße ich Italiens Entscheidung, erstmals das Bankenabwicklungsinstrumentarium in Italien zum Einsatz zu bringen, was eine Verwaltung der ausfallenden Banken unter Wahrung der Finanzstabilität ermöglicht.“