Quand la Banque centrale européenne considère comme dangereux un taux de croissance supérieur à 2,5 % alors que, selon les estimations de la Commission, il faudrait qu'il dépasse les 3 % pour faire reculer le chômage à 7 % sur une période de 6 à 7 ans, la seule voie qui vous reste alors et que vous empruntez en toute logique consiste à faire pression sur le marché du travail pour démanteler les conditions et relations qui le régissent, à imposer le travail à temps partiel et, d'une manière plus générale, la flexibilisation, la baisse des revenus en termes réels et la liquidation de la protection sociale.
Wenn die Europäische Zentralbank eine Wachstumsrate von über 2,5 % schon für gefährlich hält, obgleich na
ch Einschätzung der Kommission ein Wachstum von über 3 % nötig ist, um die Arbeitslosigkeit
in sechs bis sieben Jahren auf 7 % zu senken, dann bleibt Ihnen nur die Möglichkeit – die Sie natürlich auch konsequent nutzen –, Druck auf den Arbeitsmarkt auszuüben, um die Arbeitsverhältnisse auszuhebeln, Teilzeitbeschäftigung und die Flexibilisierung der Arbeit generell durchzusetzen, die Reallöhne zu senken und die Sozialversicherung zu
...[+++] zerschlagen.