Elle confie ainsi au juge de paix un « rôle plus actif dans la lutte contre la pauvreté, la gestion des dettes et la médiation, car il est, en qualité de juge de proximité et de conciliation, le plus apte à cet égard » (Doc. parl., Chambre, 2013-2014, DOC 53-3076/002, p. 2; ibid., DOC 53-3076/004, pp. 6-7, 25).
Dadurch wird also dem Friedensrichter eine « aktivere Rolle im Bereich der Armutsbekämpfung, der Schuldenverwaltung und der Vermittlung anvertraut, da er als Richter der Nähe und der Versöhnung der hierzu am besten geeignete Richter ist » (Parl. Dok., Kammer, 2013-2014, DOC 53-3076/002, S. 2; ebenda, DOC 53-3076/004, SS. 6-7, 25).