Les travaux préparatoires relatifs à l'article 21, 3°, attaqué expliquent : « La partie requérante soumet un mémoire de synthèse dans les quinze jours. Etant donné que cette pièce contient les moyens initialement invoqués que la partie requérante souhaite retenir
après lecture de la défense, ainsi q
ue sa réaction à la note d'observation, cette pièce sert de base au Conseil pour prendre une décision. Si la partie requérante ne dépose pas de mémoire de synthèse dans le délai imparti de quinze jours, elle est censée ne plus avoir intérêt au recours. La dernière modification se r
...[+++]attache à l'exigence prévue dans l'article 14, 3°, du projet. Dans ce cas, il n'est pas organisé de régularisation de la pièce de procédure préalable à l'enrôlement du recours, parce que la partie requérante est déjà une partie. C'est pourquoi il est prévu que le greffe indique expressément cette obligation à la partie requérante, de sorte que dans son chef, il ne peut y avoir aucun doute raisonnable quant à la formalité à accomplir, quant au délai dans lequel elle doit être accomplie, et quant à la sanction éventuelle en cas d'abstention. En outre, il reste toujours la possibilité d'invoquer la force majeure ou l'erreur invincible, qui sont applicables pour tout texte légal (C. Const. 4 avril 1995, n° 32/95, cons. B.5.2). Avec cette exigence, et l'obligation correspondante préalable pour le greffe, la protection juridique n'est pas limitée de manière restrictive ou formaliste. Si la partie requérante a introduit un mémoire de synthèse dans le délai ou a notifié au greffe qu'elle ne soumet pas de mémoire de synthèse, la procédure est poursuivie » (Doc. parl., Chambre, 2012-2013, DOC 53-2555/001 et 2556/001, p. 56).In den Vorarbeiten bezüglich des angefochtenen Artikels 21 Nr. 3 heißt es: « Die antragstellende Partei hinterlegt einen Syntheseschriftsatz innerhalb von fünfzehn Tagen. Der Syntheseschriftsatz wird, da dieses Schriftstück die anfangs vorgebrachten Klagegründe, die die antragstellende Partei nach erfolgter Lesung der Verteidigung aufrechterhalten m
öchte, sowie ihre Reaktion auf den Schriftsatz mit Anmerkungen umfasst, vom Rat als Grundlage für seine Entscheidung verwendet. Wenn die antragstellende Partei es unterlässt, innerhalb der ihr eingeräumten Frist von fünfzehn Tagen einen Syntheseschriftsatz zu hinterlegen, wird davon ausgegange
...[+++]n, dass sie kein Interesse an der Beschwerde mehr hat. Die letztgenannte Änderung schließt sich dem in Artikel 14 Nr. 3 des Entwurfs enthaltenen Erfordernis an. In diesem Fall wird keine für die Eintragung der Beschwerde durchzuführende Berichtigung der Verfahrensunterlage vorgesehen, da die antragstellende Partei bereits als Partei am Verfahren beteiligt ist. Deshalb wird vorgesehen, dass die antragstellende Partei durch die Kanzlei ausdrücklich auf diese Verpflichtung hingewiesen wird, so dass bei ihr kein vernünftiger Zweifel bezüglich der zu erfüllenden Formalitäten, der Frist, innerhalb deren diese zu erfüllen sind, und der eventuellen Sanktion bei Nichterfüllung entstehen kann. Darüber hinaus ist es natürlich weiterhin möglich, sich auf höhere Gewalt und Irrtum zu berufen, da dies immer in jedem Gesetzestext enthalten ist (VerfGH, 4. April 1995, Nr. 32/95, Erwägung B.5.3). Mit diesem Erfordernis und der vorherigen Verpflichtung seitens der Kanzlei wird der Rechtsschutz nicht auf übermäßig restriktive oder formalistische Weise eingeschränkt. Wenn die antragstellende Partei fristgerecht einen Syntheseschriftsatz eingereicht oder die Kanzlei davon in Kenntnis gesetzt hat, dass sie keinen Syntheseschriftsatz einreicht, wird das Verfahren fortgesetzt » (Parl. Dok., Kammer, 2012-2013, DOC 53-2555/001 und 2556/001, S. 56).