Il découle de ce qui précède qu'il n'existe aucune justification - pas même celle que le Conseil des ministres fait valoir en invoquant l'article 9,
paragraphe 3, de la directive « service universel » - au fait de traiter les opérateurs pour leurs services de communication mobiles et d'abonnements internet mobile de la même manière que les opérateurs de téléphonie fixe et de raccordements internet en position déterminée, en obligeant, en vertu de l'article 51 de la loi du 10 juillet 2012, la première catégorie d'opérateurs, en ce qui concerne les services mo
biles, à contribuer financièrement ...[+++] au régime de compensation prévu pour des entreprises spécifiques, en exécution de l'article 13, paragraphe 1, point b), de la directive « service universel ».Aus dem Vorstehenden geht hervor, dass es keine Rechtfertigung dafür gibt - auch nicht diejenige, bei der sich der Ministerrat auf Artikel 6 Absatz 3 der Universaldienstrichtlinie beruft -, die Betreiber, die Mobiltelefon- und Mobilinternetabonnements anbieten, auf die gleiche Weise zu behandeln wie die Betreiber für feste Telefonie und feste Internetverbindungen, indem die erste Kategorie von Betreibern, was die Mobildienste betrifft, durch Artikel 51 des Gesetzes vom 10. Juli 2012 mit dazu
verpflichtet wird, finanziell zu Entschädigungsverfahren mit Beteiligung bestimmter Unternehmen in Ausführung von Artikel 13 Absatz 1 Buchstabe b d
...[+++]er Universaldienstrichtlinie beizutragen.