Le Parlement européen a mis à l'ordre du jour une déclaration de la Commission sur la réforme constitutionnelle prévue le 2 décembre dans la République bolivarienne du Venezuela, alors que ce qui devrait être à l'ordre du jour, c'est un débat sur la tentative en cours de refuser aux peuples des États membres de l'UE le droit d'être consultés par référendum sur le traité dit «constitutionnel», «mini», «simplifié», «modificatif» ou à présent «de Lisbonne».
Das Europäische Parlament hat eine Erklärung der Kommission zu der für den 2. Dezember geplanten Verfassungsreform in der Bolivarianischen Republik Venezuela auf die Tagesordnung gesetzt, während es eigentlich eine Aussprache über den derzeit unternommenen Versuch hätte ansetzen müssen, den Völkern der EU-Mitgliedstaaten das Recht zu verweigern, in einem Referendum zum Vertrag angehört zu werden, für den die Bezeichnungen „Verfassungs-“, „Mini-“, „vereinfachter“ und „Reformvertrag“ bzw. jetzt „Vertrag von Lissabon“ kursieren.