Dans la pratique, il est apparu clairement que les pays les plus pauvres ne sont pas disposés à céder dans le domaine de la biodiversité, des énergies renouvelables et de la gouvernance, tandis que les États-Unis et l’Union européenne persistent à subventionner leurs produits dans le domaine de l’agriculture, de la pêche et des combustibles fossiles.
In der Praxis zeigte sich deutlich, dass die ärmsten Länder nicht bereit sind, im Bereich der biologischen Vielfalt, der erneuerbaren Energien und des guten Regierens nachzugeben, während die Vereinigten Staaten und die Europäische Union am Subventionierungsmodell für ihre Erzeugnisse im Bereich der Landwirtschaft, der Fischerei und der fossilen Brennstoffe festhalten.