Avant tout, nous devons admettre que nou
s avons échoué: les banques d’investissement dans lesquelles ont été élaborés des produits qui étaient, en fin de compte, tellement complexe que personne ne les compren
ait, les banques de crédit hypothécaire qui ont renoncé aux évaluations de crédit, les agences de notation qui ont généreusement ignoré des conflits d’intérêts, et les organes de contrôle qui n’ont pas collaboré suffisamment ensemble ou avec les banques centrales concernées et qui n’ont pas fait l’effort de parvenir à une réelle t
...[+++]ransparence des structures d’accueil qui n’étaient pas tenues de faire individuellement état de leur situation comptable.
Im Grunde müssen wir feststellen, dass wir alle versagt haben: die Investmentbanken, in denen Produkte entwickelt wurden, die zum Schluss wegen ihrer Komplexität keiner mehr verstanden hat, die Hypothekenbanken, die auf eine Bonitätsprüfung verzichtet haben, die Bewertungsagenturen, die sich großzügig über Interessenkonflikte hinweggesetzt haben, und die Aufsichtsorgane, die weder miteinander, noch mit den jeweiligen Zentralbanken intensiv genug zusammengearbeitet haben und sich auch nicht die Mühe gemacht haben, wirkliche Transparenz von Zweckgesellschaften zu erreichen, die auf keiner Bilanz einzeln ausgewiesen werden.