Dans ce contexte, le juge de paix est, « en tant que juge de proximité », considéré comme « le mieux placé pour se prononcer » sur le contentieux né du défaut de paiement de services fournis par les « entreprises d'utilité publique », « compte tenu de la situation spécifique du défendeur qui se trouvera souvent dans une position de vulnérabilité par rapport au demandeur » (ibid., p. 3).
In diesem Kontext gilt der Friedensrichter, « als Richter der Nähe », als « am besten geeignet, um zu entscheiden » über Streitsachen, die aus der Nichtbezahlung von Leistungen der « Versorgungsunternehmen » entstanden sind, « angesichts der spezifischen Lage des Beklagten, der sich oft in einer schwachen Position gegenüber dem Kläger befindet » (ebenda, S. 3).