11. estime que lorsque des litiges apparaissent, comme ce sera certainement ici le cas, entre les droits de propriété intellectuelle et les enjeux de la politique de santé publique, ces litiges devraient toujours être réglés en faveur des êtres humains, et non des brevets; souligne par ailleurs que l'accord ADPIC prévoit une date-butoir pour la révision générale de son fonctionnement, que ce délai n'a pas été respecté, et note que le processus est également bloqué à Genève;
11. ist der Ansicht, dass, wenn Konflikte zwischen Rechten an geistigem Eigentum und Fragen der öffentlichen Politik auftreten, womit in diesem Fall sicher zu rechnen ist, diese immer zugunsten der Menschen und nicht der Patente entschieden werden müssten, betont ferner, dass im TRIPS-Abkommen ein Zeitplan für die Gesamtüberprüfung seiner Anwendung festgelegt wurde, der nicht eingehalten worden ist, und stellt fest, dass dieser Prozess in Genf ebenfalls stagniert;